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MÉTAMORPHOSES D'UNE MÉLODIE

 

Texte : Anne Quesemand, librement adapté d'une nouvelle d'I.L. Peretz
Scénographie, peintures : Laurent Berman
Complicité à la mise en scène : Jean-Claude Vernier
Lumières et régie : Samuel Zucca
avec Anne QUesemand et Laurent Berman

 

Adaptation d'un conte yiddish de I. L. Peretz (1900) dont l'héroïne est une mélodie qui se métamorphose au gré des rencontres, de ville en ville, de pays en pays...

Née dans la rue, elle deviendra air de cirque, d'opéra, tango, jazz, rock, salsa, musique contemporaine... Sur scène, un magnétophone géant dont la bande-son est un déroulant d'images peintes et une lanterne magique sont les supports de ce mélo tragi-comique qui nous emmène aux quatre coins du monde, en hommage à tous les métissages culturels, et à l'humour de Georges Perec, fils spirituel de Peretz.

 

 

Le spectacle adapte -puis poursuit - la nouvelle de l'écrivain yiddish I. L. Peretz (1852-1915), dont l'héroïne est une mélodie orpheline qui se métamorphose au gré de ses rencontres, de ville en ville, de pays en pays, de génération en génération : née dans la rue, elle deviendra air d'opéra, de cirque, tango, jazz, rock, salsa... Orgue de Barbarie, clarinette, synthétiseur, grand orchestre ou clavecin lui prêtent leur voix, l'interrogent, la transforment, la respectent.

Sur scène, les deux comédiens-conteurs racontent ce mélo tragi-comique avec une lanterne magique et un déroulant d'images peintes qui défilent dans une sorte de gros magnétophone : la bande son est une « bande image ». Des années 1900 à nos jours et aux quatre coins du monde, le voyage auquel ils invitent, plein de cahots et de rebondissements, est un hommage à la beauté des métissages, en même temps qu'un imbroglio « oulipien », clin d'oeil à Georges Perec, petit-neveu probable et fils spirituel d'Itzhak Leibouch Peretz.

 

Bande annonce du spectacle, réalisée par Thierry Chatelain
sur des images de David Quesemand :


 
 
 

Musique : la chanson Dem Milners Trern (Les larmes du meunier) de Mark Warchawski (1848-1907), adaptée et interprétée en scène par Laurent Berman (bugle et chant) et Anne Quesemand (accordéon), dans une version « chant de marin » est métamorphosée par :

- Zupfgeigelhansel (chant yiddish)

- Watergate Seven (jazz New Orleans)

- Le Quatuor (classique)

 

- Combinacion Latina (salsa)

- Bill Baxter (rock)

- Cuarteto Cedron (tango)

- Bratsch (klezmer-tzigane)

- Pierre Charial (orgue de barbarie)

- Jean-François Goyet (piano et clavecin),

- Michel Karsky (musique contemporaine),

- Hélène Ruggieri & Jean-Paul Moatti (voix lyriques)

- Adama (chant hébreu et arabe)

- Gabriel Kinsa (chant africain).

 

Arrangements : Daniel Barda (trombone, synthétiseur, effets spéciaux), Nano Peylet (clarinette), César Stroscio (bandonéon)

Prise de son : Gérard Chiron, Jérôme Pougnant, Daniel Barda.

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Nous remercions pour leurs "métamorphoses" musicales les groupes et musiciens suivants :

Le Watergate Seven; le "Quatuor", "Combinacion Latina"; le Cuarteto Cedron , "Bill Baxter" et J. E Goyet, Nano Peylet, Pierfe Charial, Daniel Barda, M. Karsky...

Et le groupe yiddish allemand "Zupfgeigen-hansel " dans leur interprétation de Dem milners trern" de M. Warchawski (1848-1907) ,

 

conditions techniques et financières

Revue de presse

Métamorphoses d'une mélodie


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